[@] Promenade nocturne avec un ange... [PV]

Ce soir là, Fred avait fait une rencontre des plus extraordinaires, une de celles qui changeaient toute votre vie, que ce soit en positif ou en négatif. Oui, tout serait positif si il faisait sa vie avec elle, lui donnait son nom et avait plein d'enfants,ce serait une rencontre mémorable, digne d'un livre des plus romantiques. Et si c'était négatif, son premier amour le marquerait sûrement à vie comme un échec des plus effroyables, causant une blessure au plus profond de son coeur que personne ne pourrait jamais combler, ni même comprendre. Mais pour le moment, tout semblait rouler pour le jeune Gryffondor et son amour de jolie brune, qu'il tenait dans ses bras avec le plus de délicatesse dont il était possible, descendant les escaliers de la volière avec un maximum de discrétion. Son idée de la salle sur demande lui semblait de plus en plus cohérente, et au final c'était le seul endroit où il ne pourrait se faire découvrir par le concierge, car il ne devait pas connaître l'existence de cette salle vu qu'elle était secrète. Enfin, un peu moins depuis le temps des héros tels que ses oncles Harry et Ron, puisque la moitié du château était sortit par là pour éviter la bataille avec les mangemorts. Mais bon, le mythe de cette salle trottait toujours dans son esprit, et il ne savait pas encore ce qu'il allait demander à cette magnifique salle. Car si il désirait un endroit tranquille et romantique pour des tourtereaux, il ne serait pas forcément judicieux de faire apparaître un lit, car cela serait des plus grossiers, et Maelya pourrait prendre cela plutôt mal. Mais b on, mieux valait tenter le tout pour le tout, alors une fois arrivé au bas des escaliers, il prit la direction d'un endroit bien spécifique dans le château, pour se retrouver après quelques minutes devant un mur nu et plutôt froid. Fermant les yeux et se concentrant avec tout le sérieux possible, une porte se découpa devant les deux amoureux, et alors qu'il posait la main dessus, il parla d'une voix douce.

Cette salle prend l'apparence de ce que l'on désire avant d'entrer. J'espère que mes pensées seront assez florissantes pour toi...

Poussant la porte avec la peur au ventre, une agréable chaleur se répandit dans tout son corps, s'échappant de la pièce dans laquelle ils entraient tous les deux. Sa beauté toujours soutenue grâce à ses bras puissants, il pénétra dans une salle de la taille d'une salle commune, avec des murs orangés et des photos de soleils couchants ainsi que de ciel étoilé. De l'autre côté de la porte par où ils venaient d'entrer, et qui d'ailleurs s'était refermée, une cheminée allumée rougeoyait avec douceur, attirant irrésistiblement le regard. En face, à un mètre ou deux, un canapé qui pouvait permettre à deux personnes de s'asseoir trônait majestueusement, de couleur pourpre, avec des coussins moelleux rien qu'à les regarder. Partout, des chandelles procuraient cette lumière douce à la pièce, des pétales de roses parsemant le sol et quelques uns tombant du plafond avec une lenteur magique, sans jamais leur tomber dessus. Dans un coin de la pièce, un lit à baldaquin se tenait majestueusement, avec plusieurs toiles qui cachaient l'intérieur pour une intimité certaine, malgré le fait que personne ne viendrait sûrement les trouver ici. Tandis qu'il avançait vers le canapé, il s'assit dessus tout doucement, déposant Maelya en position assise sur ses genoux, remarquant par la même occasion deux flûtes de champagne posées sur une table près du canapé. Laissant glisser ses mains, il prit celles de Mae dans les siennes, entrecroisant ses doigts avec ceux de son aimée, appuyant sa tête contre son épaule tout en plongeant son regard noisette pétillant dans celui de son amour, se sachant pas si il devait parler ou laisser continuer cet instant de bonheur sans fin.

Fred l'avait porter un bon moment , les couloirs et les escaliers s'enchainait. Elle se demandais où elle allait atterrir. Mais dans les bras de Fred elle serait aller n'importe où... Le château était incroyablement calme et cela était plutôt bizarre. D'un coup Fred s'arrêta devant un mur et paraissait très concentré. Maelya se demandais ce que faisait le jeune homme... et d'un coup une porte apparut. Maelya n'en croyait pas ses yeux elle ne savait pas ce qui se passait car pour dire vrais elle n'avait pas entendu parler de cette pièce dans le bref résumé de la défaite de vous-savez-qui. Fred lui expliqua alors que cette salle prenait la forme que l'on désirait. Ils étaient entrés dans cette porte et Maelya regarda tout autour d'elle. La pièce était magnifique, elle était chaleureuse et romantique , il y avait des pétales de rose et des tableaux magnifiques et un canapé et un lit...UN LIT..... Maelya ne souligna pas le faite qu'il y avait un lit elle décida de profité du moment présent.
Quand Fred la pausa délicatement sur le canapé , et qu'elle se retrouva sur ses genoux elle avait l'impression d'être dans un rêve, elle pensa même a se pincer pour savoir si c'était bien réel mais elle trouva quelque chose de plus agréable a faire....

Maelya, les yeux plonger dans ceux de Fred, l'embrassa a nouveau, et des frissions se baladais dans son corps tout entier. Elle avait l'impression de voler dans les aires entouré de millier d'étoiles. Elle mit fin au baiser et se blottit dans les bras de son amoureux...oui elle pouvait le considéré comme son amoureux... Son premier grand amour a vrais dire même son premier amour tout court, et peut-être son dernier. Avec un peu d'appréhension Maelya fit un câlin au jeune homme tout en lui caressant un peu le torse sentant la musculature de Fred a travers son haut elle rougit un peu et s'arrêta.. Elle avait vraiment envi de passer le reste de la nuit a ses cotés et elle était vraiment bien ici. Ne sachant pas quoi dire elle se contenta de se mettre tout contre lui, fermé les yeux, de prendre les main de Fred pour les poser autour de sa taille, et de continuer a lui faire des caresses.

Cette sensation si délicieuse de se sentir au bon endroit et au bon moment, avec les bonnes personnes qui plus est, commençait à devenir une habitude chez Fred au cours de cette soirée. Assis tranquillement dans un fauteuil moelleux et des plus confortables, une véritable beauté divine au creux de ses bras, elle même assise sur ses genoux, que pouvait-il demander de plus ? Commençant à s'habituer à la chaleur ambiante, il sentit un léger mouvement chez Maelya, et celle-ci se pencha pour l'embrasser, lui aussi s'approchant d'elle avec une lenteur calculée. Sentant les lèvres douces de son ange se poser contre les siennes, tout se corps se réchauffa en un clin d'œil, ses mains posées sur la taille de Mae pour la caresser doucement tout en essayant de ne pas la faire tomber par terre. Cette fois, ce fut elle qui mit fin au baiser, et juste après, il sentit toute l'étendue de son corps contre le sien, son odeur enivrer son cerveau, lui faisant totalement perdre la boule. Après tout, ils étaient dans une salle où personne ne risquait d'entrer, alors pourquoi ne pas en profiter pour faire des choses plus intéressantes que des baisers. Des idées pas très catholiques lui trottant dans la tête, il se rappela que lui et cette charmante demoiselle ne se connaissaient que depuis quelques minutes, enfin peut être plus mais même pas une heure, alors autant ne pas faire le bourin en essayant de faire des choses grossières. Laissant ses penser dériver dans un flou total, noyé dans l'amour et l'ivresse de plaisir, il sentit les mains de Maelya parcourir sa poitrine, des frissons de désir le parcourant de plus en plus. Elle ne l'aidait pas vraiment à se retenir de devenir un sauvage en même temps, bien que le seul fait qu'elle existe lui fasse ressentir des choses plutôt étranges.

S'arrêtant quelque peu de caresser Fred, la rougeur de l'ange châtain ne passa guère inaperçue aux yeux du Gryffondor qui fit comme si i n'avait rien vu. Oui, c'était une bonne idée finalement de ne rien tenter de trop courageux avec elle, car elle n'était pas encore tout à fait sûre d'elle, tout à fait à l'aise avec lui. Peut être s'attachait-il trop vite à elle, et que son amour sans fin n'était pas aussi fort du côté de son aimée, ou peut être était-elle tout simplement timide comme lui l'avait été avant qu'ils ne s'embrassent. Sentant de nouveau des caresse sur son corps tandis que sa beauté se collait à lui de nouveau avec une ferveur renouvelée, elle prit ses mains par la même occasion pour les poser autour de sa taille, comme si elle encourageait Fred à faire quelque chose de plus que ce qu'il était déjà en train de se passer. La rapprochant encore plus de lui, il l'embrassa de nouveau avec cette fois plus de douceur encore, ses mains remontant doucement le long de ses reins et redescendant avant de toucher sa poitrine, il n'en était pas encore là. Alors qu'il l'embrassait depuis quelques secondes, il mit fin au baiser et recommença, à chaque fois ne collant leurs lèvres que quelques secondes pour ensuite se reculer et plonger son regard noisette dans celui de la Serdaigle pour revenir ensuite sans brusquer le geste. Au bout de quelques minutes plutôt passionnantes et passionnées, il se décrocha de sa bouche de celle de Maelya pour l'embrasser doucement dans le cou, descendant de quelques centimètres à peine jusqu'à arriver un tout petit peu au-dessus de sa poitrine, s'arrêtant là et l'attirant contre lui car il s'adossait contre le fond du canapé, le souffle court et son regard planté dans celui de son âme soeur.

Le jeune homme avait l’aire aussi heureux que Maelya. Elle sentait ses main remonter le long de ses reins , puis acceptant ses baisers, Maelya n’en pouvait carrément plus elle craquait. Tout les éléments se déchaînait en elle a chaque baiser, elle avait chaud et froid en même temps , sa tête était en ébullition , ses joues lui brûlait et elle ne pouvait plus sentir ses lèvres a force tellement elles étaient en feux. Quand Fred commença a lui faire des bisous dans son coup , elle fut parcourt de frisson si fort qu’elle eut l’impression qu’un tremblement de terre l’avait toute secoué. Elle sourit et rit doucement sous les bisous de son amoureux, ses sentiments était si fort , si intense qu’elle ne pouvait pas arrêter Fred elle voulait qu’il continu encore a lui faire des bisous, qui ne s‘arrête plus jamais. Elle le désirait plus que tout , mais ne voulait pas déjà passé à l’acte, craignant d’être prise pour une fille facile et de plus elle voulait être sur qu’il était sincère avec elle. Ce soir Maelya n’ira pas très loin avec Fred mais elle n’était pas contre des petits câlin , même si il était un peu coquin.

Maelya décida alors elle aussi de lui faire des bisous , d’une humeur un peu coquine elle se laisser porter par ses pensés peu catholique et laissa sa bouche se balader sur le cou de beau jeune homme , en mettant ses main sous son haut et le caressant. Elle continua ses bisous a l’endroit où ses mains le caressait quelque instant plutôt . Maelya sentait les abdos de Fred le légèrement contracter au contacte de ses lèvres sur sa peau. Elle poursuivra son chemin vers la bouche de Fred et touchant juste ses lèvres avec les sienne la bouche entre ouverte sans l’embrasser vraiment puis lui mordillant légèrement sa lèvres inférieur elle posa un petit baiser sur les lèvres humide de Fred. Maelya voulait tellement pouvoir contrôlé les petites voix qui lui disait de sauté sur lui et lui arracher ses vêtements… Elle n’arrivait pas a se calmé , elle respira un grand coup , prit les coupes et en tendis une a Fred. Et lui dit alors:

« santé…. »

Elle but une gorgée pour se remettre de toute ses émotions et embrassa Fred, finissant son verre et se leva pour aller essayer le lit qui depuis quelque minute lui faisait les yeux doux. Elle s’assit sur le lit et le trouva mœlleux et ferme à la fois . L’alcool lui avait assez vite monter a la tête avec la chaleur qu’il faisait , elle se lâcha un peu et décida de monter sur le lit pour sauter dessus. Elle avait l’impression de marcher sur des nuages , elle se déséquilibra et tomba sur le lit, assise dessus elle riait et invitât Fred a venir la rejoindre…

Tout n'était qu'illusions et sensations de rêves dans le corps de Fred, et tout ce qu'il faisait en ce moment même semblait provenir de quelqu'un d'autre que lui. Il pouvait presque se voir comme un spectateur extérieur, lui avec Maelya dans ses bras et la caresser doucement dans le dos, multipliant les baisers rapides pour faire monter la pression, la tension qui régnait dans la pièce, mais une bonne tension. Celle qui se propage doucement puis de plus en vite, sentant qu'il y a tant de possibilités autres que des embrassades mais qu'aucune ne convenait vraiment à la situation. Lorsque son petit jeu se termina enfin, ayant faire rire et sourire son aimée, ce fut à son tour de passer à l'action pour tester la résistance de Fred à son charme. Lui pensait s'en être plutôt bien tiré, il avait sentit l'extase en lui et prenait l'expression de plaisir qui flottait sur le visage de la belle brune pour une sensation similaire. Celle-ci commença à l'embrasser un peu de partout dans le cou tout comme lui, puis tout en faisant cela, elle mit ses mains sous son T-Shirt, sur son torse brûlant et qui devait trembler à chacun de ses battements de cœur. Sa bouche descendit ensuite pour l'embrasser au niveau de son ventre, tous ses muscles bandés tellement il était hypnotisé, ses lèvres laissant des brûlures éternelles à chaque endroit qu'elles touchaient. Plongeant dans une espèce de transe pleine de baisers, de sourires et de petits rires, tout cela finit par prendre fin tandis que Maelya remontait vers son visage pour poser ses lèvres sur les siennes d'une manière joueuse. Reprenant son souffle tout en refermant sa prise sur le petit corps chaud qu'il tenait, il saisit la coupe que Mae lui tendit, lui fit un petit sourire lorsqu'elle lui souhaita une bonne santé, et s'approcha de son oreille pour lui parler d'une voix douce et lointaine.

A ta santé, et à nôtre amour...

Son aimée but une gorgée et lui fit de même, le liquide pétillant faisant palpiter chacune de ses papilles puis lui brûlant agréablement la gorge. A son grand étonnement, elle se leva de ses genoux, laissant un grand vide physique et moral à Fred malgré qu'ils soient toujours dans la même pièce bien évidemment. Mais les derniers évènements le clouèrent sur place de joie et d'effroi en même temps, une sensation glacée s'emparant de son cerveau. Oui, il avait plus qu'envie de se lever et d'aller la rejoindre sur ce lit pour la tenir dans ses bras et continuer à l'embrasser, la caresser et tout ce qui allait avec. Mais il ne pourrait jamais résister à toutes ces pulsions qui l'envahissaient, il était un homme maintenant et certaines choses étaient quasiment impossibles à réfréner. Tandis qu'il observait la scène, pris de la peur de ne pas se contrôler, il regarda Maelya monter sur le lit pour sauter dans tous les sens, le faisant sourire tandis qu'il terminait son verre d'un trait et se levait, s'appuyant sur le canapé et croisant les bras pour la contempler. Décidément, si il arrivait à se contenir toute la soirée, seul dans une pièce impénétrable avec la plus belle fille qu'il connaisse et qui le tentait toues les 30 secondes, il méritait sûrement une médaille. La regardant s'asseoir et lui faire signe de la rejoindre, il s'approcha du lit, s'assit dessus près d'elle et lui caressa la joue du bout des doigts, sans pour autant s'approcher d'elle. Prenant soudain conscience de la chaleur des alentours, il enleva son T-Shirt complètement cette fois, le jetant sur le canapé de là, et se laissa tomber en arrière, allongé sur le dos les bras en croix...

Pendant que Maelya était aller voir le lit , Fred quand a lui la regardait d’un air serveur les bras croiser adosser contre le canapé. Elle réussit comme même a lui décrocher un sourire, et le voyant a hésité Maelya se demandait si elle avait pas été un peu bête de l’invité ainsi dans le lit avec elle , elle n’avait pas pensé a ce qu’il aurait pu déduire de cette invitation. Maelya le vit avancer vers le lit s’asseoir sur le lit et lui caressé la joue tout tendrement. Elle avait vu qu’il ne c’étais pas mis très près d’elle comme ci elle avait une maladie et qu’il ne fallait pas l’approcher , ou comme si elle lui aurait sauté dessus des qu’il eu touché le lit . Mais elle vit que ce n’était pour aucune de ses raisons car il lui avait fait ses petites caresses si agréable sur sa joue. Elle était heureuse d’être avec lui… et quand il enleva son haut , Maelya eu un coup de chaleur dans tout son corps. Voyant les dessins que créait ses muscles sur sa peau et elle avait une folle envi de se mettre contre lui .

Fred était couché dans le lit et Maelya un peu plus loin se rapprocha doucement vers lui. Elle se glissa tout contre lui et commença a lui faire des baisers sur la bouche descendant vers le cou puis se baladant sur le torse de Fred et descendant encore et encore jusqu’à la ceinture du jeune homme. Elle s’arrêtât la et remontât toujours très doucement a nouveau a sa bouche puis posa sa tête sur le bras du jeune homme se mit sur le coté tout près de lui et glissa ses mains sur son torse , elle était si près de lui que tout son corps était en contacte avec Fred. Elle le désirait plus que tout et voulait être dans ses bras tout les jours de sa vie, mais comment lui faire tout cela alors qu’elle ne lui avait même pas encore parler de sa famille , de son père cet assassin , elle avait du sang de mangemort qui coulait dans ses veines… et elle en était honteuse, comment allait t’il réagir sous cette annonce Maelya ne le savait as et en avait plutôt peur. Elle était heureuse près de lui mais avait plutôt peur de lui avouer ses lien de parenté….

Il faisait de plus en plus chaud dans la pièce de rêve, et cela commençait à faire tourner un peu le cerveau de Fred, qui sentait sa résistance face à la tentation s'effriter de plus en plus vite. Comme il était assis sur le lit et qu'il venait d'enlever, son T-Shirt, s'allonger lui avait parut la meilleure solution dans ces moments là. Sauf qu'il n'avait en rien prévu ce qui allait se passer, et encore moins un facteur primordial : si ses résistances s'effaçaient, celles de Maelya devaient en faire autant, alors comment se gérer lui même et elle en plus ? Enfin, si elle ne voulait que ça, il ne pourrait certainement se blâmer ensuite d'avoir céder à une envie qu'elle partageait avec lui après tout. Comme il sentait le matelas bouger sous l'approche de son aimée, il s'embrassèrent avec rapidité pour le moment, laissant la passion pour le moment où ils auraient brûler toute l'énergie qui courait dans leurs veines, dans l'air qu'ils respiraient. Puis elle commença à descendre lentement sur son torse, Fred ne bougeant pas d'un centimètre et sentant sa respiration s'accélérer au fur et à mesure qu'il sentait les lèvres descendre toujours plus bas. Enfin, elle arriva à l'endroit où se trouvait sa ceinture, et elle remonta sans se presser, toute la tension retombant petit à petit dans l'esprit du Gryffondor. Ses dernières ressources étaient employées en ce moment même pour qu'il continue dans cette voie, pour ne pas qu'il aille vers de nouveaux horizons de plaisir à deux, et surtout beaucoup moins vêtus pour des sensations assurées. Sentant qu'elle s'allongeait contre lui, il déposa une de ses mains sur le ventre de Mae, faisant des petits ronds du bout des doigts en contemplant le plafond d'un air abstrait.

A moi...

Il n'avait pas put s'en empêcher, il avait annoncé officiellement le fait que c'était son tour de la cajoler, et il avait décidé que oui, il n'allait pas passer la soirée à lui faire des petits bisous. Se retournant et se retrouvant au dessus d'elle, les bras de chaque côté de son corps pour se maintenir au-dessus d'elle. Commençant par l'embrasser longuement et fougueusement, il commença à lui faire des baisers de plus en plus courts et rapides, puis commença à ralentir tout en l'embrassant dans le cou, descendant toujours aussi doucement. Sentant qu'il arrivait au niveau de sa poitrine, ou tout du moins juste au dessus du sternum, il poussa un soupir pour se donner du courage, leva les yeux vers son aimée, et lui fit un clin d'œil. Restant à ce niveau là, il descendit doucement ses bras, les faisant passer sous le T-Shirt de Maelya, lui caressant le ventre avec douceur, et montant petit à petit, continuant ses baisers dans le bas de son cou. Ses mains remontaient le plus lentement possible et son esprit allait exploser de peur d'aller trop loin, et enfin il sentit que si il avançait encore, le terrain commençait à s'élever. Restant à ce niveau là, il remonta son regard une dernière fois, l'air sérieux et passionné, et se baissa, embrassant la base du sein droit de Maelya...

Après toutes ses émotions Maelya ne savait plus quoi faire…cédez ou pas ? Ce laisser emporter par cette instant de volupté ou résisté a la tentation de peur de regretté ses gestes… Fred était si doux avec elle, elle qui avait envi que cela ce concrétise et à la fois peur de tout ce qui pourrait arriver. Elle ne savait pas si elle était prêtes pour ce qui allait ce passer ensuite et ne savais pas enfaite ce qui allait se passer tout simplement. Fred qui paressait un peu plus sur de lui informa que c’était a son tour de la câliner un peu…

Il l’embrassa longtemps puis descendit le long de son cou, cela avait en effet tout a fais extraordinaire, comme si des frissons faisait la course a l’intérieur d’elle, une sensation a la fois agréable et désagréable a vrai dire. Elle attrapa la couverture du lit, qui gisait sous elle par ses mains et la serra fort comme si elle avait peur de s’envoler. S’arrêtant juste à temps Maelya compris que lui aussi appréhendait se qu’il pourrait se passer après. Il passa la main sous son haut et la caressa, la tension de Maelya s’accélérait de plus en plus elle sentait son cœur battre tellement fort qu’elle avait peur qu’il s’arrête. Fred lui lançait des petits coups d’œil comme pour vérifier qu’elle allait toujours bien et cela la rassurait au plus haut point, elle savait que si elle voulait que ça s’arrête maintenant il l’écouterait. Mais Maelya ne voulait pas que cette instant prenne fin et quand Fred déposa un baiser a la naissance de sa poitrine, elle ne pu retenir un petit gémissement.

Tout son corps brulait à présent d’un désire qu’elle ne pouvait refouler. Rougissant suite au bruit qu’elle avait laissé sortir de sa bouche, elle évita le regard de son aimé et ferma les yeux pour se calmer un peu. Maelya se détendit un peu et essaya de remettre un peu d’ordre dans ses pensées. Voulait-elle vraiment tout ça… ? Oui elle en était sur, même si elle ne pouvait s’empêcher de craindre qu’il ne se serve d’elle. Et jusqu'à quel point irait-elle ? Elle ne le savait pas encore mais se dit que ce n’était pas ce qui importait, ce qui importait c’était qu’elle était avec lui en se moment même et qu’elle devait profiter de l’instant présent et ne rien regretté par la suite. Maelya un peu plus sur d’elle glissa ses mains sur le dos de Fred et l’attira vers lui comme pour l’encourager à continuer. Elle l’embrassa tendrement et se décida a retiré son haut…D’un geste précis elle l’enleva et dévoila part la même occasion son sous vêtement noir assez simple mais élégant par la même occasion. Reprenant la place qu’elle occupait une seconde au part avant elle plongea son regard dans celui du jeune homme et ne bougeait plus, seule son abdomen se soulevait sur le rythme de ses respirations, laissant le champ libre à Fred…

Tout cela commençait à devenir plus qu'un jeu entre deux jeunes gens, et même si il avait la certitude d'en avoir envie, Fred ne savait pas si il en était de même pour Maelya. Et puis même, peut être que tout cela allait un peu vite, qu'une fois qu'il auraient commis la faute à ne pas commettre, leur histoire serait terminée, toute la passion qu'ils avaient éprouvé se trouvant être éphémère, le temps d'un soir, d'une nuit. Malgré ces pensées plutôt sensées, Fred ne parvenait pas à s'arrêter de la cajoler, sentant monter en lui un désir qu'il ne connaissait pas, toujours plus fort, toujours plus intense et étoffé, plein de sensations nouvelles qu'il ne savait pas humaine. L'amour avait une forme, une odeur aussi, si ennivrante et puissante qu'elle bloquait son sang, une image qu'on ne pouvait décrire, une image de l'esprit. Regardant Mae enlever son haut sous ses yeux brûlants d'un désir animal, comme des braises ardentes, il sentait le contrôle lui échapper, même si ça ne lui était encore jamais arrivé. Se rapprochant doucement de son visage, il déposa un baiser léger, effleurant à peine ses lèvres, puis recommença plusieurs fois, augmentant l'intensité à chaque fois. Alors qu'il la serrait avec passion, même avec rage vu la force qu'il déployait, il se rendit compte qu'il devait lui faire mal. Sentant ses dents cogner contre celle de Maelya, il se rendit compte qu'il avait envie de la mordre, de sentir le sang dans sa bouche, ce goût si délicieux... Son visage affichant soudain un air alarmé, il sauta du lit avec une grâce toute féline et se retrouva à 4 pattes, sentant ses crocs pousser à une vitesse phénoménale, son poids augmenter tandis que sa taille s'étendait en longueur, des poils blonds / roux apparaissant partout sur lui. Quelque chose clochait effectivement, il avait eu trop de sensations fortes qui le rappelaient à une autre nature.

Il n'avait pas lutté contre sa transformation, il savait qu'il aurait un contrôle parfait sur son esprit même sous cette forme, et puis au moins il pourrait impressioner sa chère et tendre. En quelques secondes, le jeune homme fin et plutôt inoffensif s'était transformé en un énorme lion, roi de la savane et des animaux, avec un pelage doré qui donnait ce côté mystique à la scène, ses yeux ambrex rougeoyant avec une lenteur inquiètante, reflétant l'intelligence de cet animal. Assis sur ses pattes arrières tel un énorme chat, il fixait Mae dans les yeux sans jamais ciller, sa respiration puissante soulevant son énorme corpulence, sa crinière voletant légèrement comme sous l'effet d'une brise. Levant une de ses énormes pattes, il la lécha avec lenteur, produisant un bruit plutôt agréable à cause du frottement de sa langue, de la taille d'un steak en passant. Reposant sa patte par terre, il releva son arrière train et s'étira en bon félin, faisant craquer les os de sa colonne vertébrale et plantant ses griffes dans le pauvre tapis qui ne lui avait rien fait. S'approchant avec lenteur du lit, il sauta d'un coup avec grâce, se recevant à quelques distances de Mae qui devait avoir subit un choc, puis s'allongea sur le côté, la fixant avec le regard du sage. Il ne pouvait peut être pas parler dans cet état là, mais il espérait qu'elle comprendrait qu'il était toujours lui au fond, et que cette apparence était plus utile qu'autre chose. Posant la tête allègrement, comme si il se pavanait, il bailla à s'en décrocher la machoire, dévoilant des crocs tous plus acérés les uns que les autres à la pauvre fille en face de lui. Soufflant longuement par ses énormes narines, les vapeurs chaudes devaient arriver jusqu'à Maelya qui serait peut être tentée par une grosse peluche...

Maelya vivait un vrai rêve éveiller avec Fred puis d’un coup elle vit son regard changer, elle ne savait pas se qui se passait dans sa tête et se demandait si il ne regrettait pas cette soirée. Quand d’un coup elle vit que le beau garçon qui se tenait devant elle devenait quelque chose de bizarre…un…lion… oui c’était bien un Lion qui se tenait devant elle… Elle prit peur et eu un mouvement de recule, elle ne savait plus ce quelle devait faire, et ce qu’il allait faire… Elle resta figée sur le lit regardant l’animal qui faisait sa toilette devant elle… Allait t’il lui sauté dessus elle n’en savait rien mais espérait qu’il n’allait pas lui faire de mal. Quand le Lion sauta sur le lit et se coucha Maelya fut rassuré, enfin en partie elle approcha vers lui sa main en attendant une réaction quel conque et la posa sur son doux pelage. Le lion n’avait pas l’aire d’être gêné et Maelya s’approcha alors de lui.

Elle le regarda dans les yeux et lui déposa un baiser sur son museau, puis elle passa sa main sur lui et le caressa. Maelya n’avait plus peur même si cette bête était imposante elle savait ou plutôt sentait qu’il n’allait pas lui faire de mal. Elle se rapprocha encor de l’animal et posa sa tête sur son dos toute en continuant a le caresse son corps toujours a moitié nu sentait la douceur des poils de l’animal. Elle s’endormie dans cette position sans s’en rendre compte, Maelya n’avait jamais dormie aussi paisiblement bercé par la respiration de ce gros animal doux et moelleux…

[hj: desolé pas d'inspiration...]

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