[FE] Solitude Egaré

Invité

Comme souvent apres ses repas , Steven venait dans cette tour , oû se trouvais la volière. Apres le dinner elle était souvent déserte et il y était tranquille pour reflechir à sa journée et ce qu'il ferait le lendemain, pourtant cette fois-ci il n'était pas venu pour reflechir, mais pour écrire. Steven aimais beaucoup écrir, il passait souvent plusieurs heures par jours a écrir, le matin, le midi, le soir... Cela lui permettai d'évacuer cette solitude, et de partager ce qu'il vivait, lorsque qu'il écrivait le papier écouter et dévorai meme tout ce qu'il lui raconter, il ne s'opposer jamais, toujours en parfait accord avec ce qu'il disait... Et lui ca lui allait a Steven, meme si ce n'était qu'un stupide bouquin comme beaucoup dirai, il en savait plus sur lui que toute les personnes reunis du chateaux et meme s'en doute de la planete. Steven relus un passage à haute voix comme pour se dire qu'il ne faisait pas cela pour rien...

<< L'enfance est pour moi un monde vert. Non pas le "vert paradis des amours enfantins" d'une fraicheur acide, un peu bleutée, qui nimbe les contoursd'un souvenir enchanté. Mon vert est profond , doré, tirant un peu sur le roux, celui des feuilles qui vont mourrir, celui qui accompagne la transparance paisible et pourtant menacée des soirées de septembreou l'ombre monte trop vite le soir venu. C'est aussi le moiré des flots, des courants secrets et imperieux de la nostalgie qui m'entraine si loin des cotes habitées lorsque je m'y attend le moins...>> Ecris pas moi...

Steven se dit qu'il en avait assez fait pour aujourd'hui et qu'il serait l'heure qu'il rentre , car la nuit commencer a ce coucher sur Poudlard... Il descandit les escalier, continua a marcher, bientot arriver a son dortoir, il voulu toucher se livre qui lui fesait tant de bien. Mais il se rendit compte qu'il l'avait oublié, il reparttit en courant jusqu'as la volière, il arriva essouflet et vit que...

Zoey ne put s'empêcher de soupirer. Être préfète n'était vraiment pas de tout repos. Elle aimait ça, c'était sûr ! Et puis, elle était très fière d'elle, son père aussi d'ailleurs ! Mais cela ne l'empêchait pas d'être humaine, d'avoir besoin de souffler. Dans ces moments-là, elle grimpa bravement tous les escaliers qui la séparaient qui la séparait de la volière. Inutile de dire que c'était long et fatiguant mais bon elle n'avait pas le choix.

Elle atteignit enfin la tour de la volière avec un grand soupir de soulagement et poussa la porte. Mais elle fut surprise de découvrir que la volière n'était pas déserte. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il y ait quelqu'un. Elle cligna un moment des yeux, incrédule. Puis elle se sentit un peu et même très bête. Elle sourit timidement au jeune homme qu'elle avait identifier comme étant un Poufsouffle. Bien que très timide en général, elle prit la parole en première.

- Salut. Je te dérange pas, j'espère.

Invité

[...]Il arriva essouflet et vit que la porte s'était ouverte derriere lui, l'aurait'on suivis? Il fut pris de panique et voulu ce caché , mais aucun endroit ne s'offrai a lui en ces lieux... Soudain une jeune fille rentra. Elle semblait surprise, ou alors elle avait peur, il n'en savait pas grand chose lui, l'asocial qui n'avait jamais eu d'ami et ne savais reconnaitre les émotions sur autruis... Il avais cependant remarquer qu'elle clignat des yeux. Cela est'il un tic de cette demoiselle? Ou un signe particulié? Il l'as vit lui faire un magnifique sourir, il en fut géné et baissa la tete, il nétait a habitué a ce que de jeune jolie fille lui face des souris... Puis elle s'exprima... Lui demandant si elle le dérangai... Il baffouilla un << Non >> incomprehensible et fit le tour de la tour du regard pour trouver son cahier... Il ne le trouva pas...

Ps: désolé pas d'inspiration : /

hj: Pas grave

Zoey fut étonnée par l'attitude du jeune homme: la même qu'elle aurait eu il y a quelques temps ! En bonne Londubat qui se respecte et digne fille de son père, Zoey était loin d'être la confiance incarnée mais elle faisait des efforts ces derniers temps. Et de voir quelqu'un dans le même cas qu'elle l'attendrissait, la rendait nostalgique. Son sourire devint alors plus sincère et plus grand aussi. Mais, bête comme elle était, elle ne sut pas pourquoi il rougissait.
En voyant qu'il cherchait quelque chose, elle lui jeta un regard interloqué et lui demanda:

- Tu cherches quelque chose ?

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