[Fiche Validée #72] Je ne suis pas aussi bleue que le ciel, encore moins un ange, pigé ?

John Kenneth Williams
Mort à 31 ans
John est né dans une famille de sang pur et comme à l'époque, certaine famille très ancienne comme celle-ci était stricte, il reçut immédiatement l'éducation froide et sévére. Son enfance ne fut pas des plus heureuse certes mais il restait tout de même à l'image de ses parents. Beau, froid, réservé et qui poussait au respect. Il commença ses études en Bulgarie et fut reçut dans une maison équivalente à celle de Serpentard, à Durmstrang. Il était toujours très entouré, bien qu'il ne fasse confiance à personne. Plus tard, il s'enrôla dans les mangemorts et emménagea en Angleterre à ses vingt et un ans. Là-bas, il commença une formation d'auror, bien qu'il n'était qu'espion et reussit comme toujours. Trois ans plus tard à ses vingt cinq ans, alors qu'il travaillait, il rencontra une femme. Une femme à la beauté qui n'avait d'égale à sa générosité et à sa gentillesse. Il essaya d'échappé à son destin, mais personne n'y arrive bien longtemps. Celui-ci le rattrapa et il tomba amoureux d'elle. Une moldue pourtant. Mais ont ne choisis pas qui ont aime n'est-ce pas ? Cette femme était celle qui arrivait à le radoucir, à le rendre plus humain. Bien qu'au début elle ne voula pas de lui, elle finit par abandonnée toute résistance suite à sa cour acharnée et une année plus tards il se mariérent. Bien entendue cela fut mal vue. Un Williams, avec une pauvre petite sang-de-bourbe ? Il fut renier et sa vie commença à être en danger. Un mangemort ne pouvait pas trahir toutes les convictions. Ils déménagérent plusieurs fois avant de revenir à Londres, quelques années plus tards. Là, Vivian lui appris qu'elle était enceinte. Il n'eut pas le temps de connaître sa fille, puisque un mois plus tard, il était mort et enterré.

Vivian Amnel - Williams
Morte à 25 ans
Vivian elle est née dans un petit coin de Glasgow, dans une petite ville tranquille ou tout le monde connaissait tout le monde, et s'appréciait. Elle à eu l'enfance que tout les enfants envirait. Pas de strass ni de paillette. Non, une simple famille bien unie. Depuis petite, elle révéla une intelligence et une perspicacité étonnante. Et une générosité sans pareil. Elle n'a jamais eu un seul mouvement de colère envers quiconque. Un vrai ange. Plein de douceur. Vivian à toujours aimée étudiée. C'était une chose qu'elle prenait au sérieux. Mais elle ne c'est jamais rendue compte qu'elle séduisait beaucoup de monde autour d'elle. Et oui, elle était étonnement belle. Un charme qu'elle en connaissait même pas. Lorsqu'elle rencontra John, il lui semblait mauvaise et plein de mauvaise intentions. Mais au fur et à mesure, sa bonté reprennait le dessus et elle s'interéssait de plus en plus à se jeune homme mystérieux. Bientôt elle céda et tomba dans ses bras. Un an de pur bonheur s'ensuivit. Et ils se mariérent. Ainsi débutérent les ennuis. Les mangemorts comme il les appelaient les poursuivaient et ils déménagérent souvent. Elle n'apprit jamais le statue de sorcier de son mari. Lorsqu'ils revinrent en Angleterre elle se rendit compte qu'elle était enceinte de plusieurs mois déjà et l'apprit à John. Feu de joie intense. Vite éteint lorsque John sortie, et ne revint plus. Elle crut qu'il l'avait abandonné. Alors qu'il était partis pour les protégés elle et son enfant à venir. Elle ne le sut jamais. Vivian pris soin de sa grossesse jusqu'au jour critique. Évidemment l'enfant n'était pas ordinaire. Lorsqu'elle fut née, sa mère survécue juste le temps de lui donnée c'est prénoms et son nom et de donnée son dernier souffle.

Une jeune femme se trouve dans la rue. Vivian, une main posée sur le ventre, l'autre faisant conservée son équilibre en s'appuyant sur le mur, avançait tant bien que mal dans la direction de l'hopital. Cela faisait deux semaines qu'elle n'avait plus eut de nouvelle de son mari, John, qui était partis un soir, sans revenir. Il lui manquait. Mais elle devait pensée à autre chose. Avancée par exemple. Chaque pas qu'elle faisait était un supplice. Elle était en train de perdre les eaux, seuls dans les rues de Londres, alors que la neige tombait sur elle. Inutile de précisée que la jeune Williams était tombée déjà plusieurs fois, ses genoux étaient en sang et elle avait vraiment froid. Malgré la basse température, de la sueur perlait sur son front, et ses long cheveux bruns se collait à son visage. Ses mains aussi étaient couvertes de sang. Et des larmes ruisselaient sur ses joues. La douleur était atroce et pourtant elle devait avancée. Sinon sa fille ne s'en sortirait pas. Sa destination n'était plus lointaine. Un peu de courage et cela finirait. La jeune femme contenait durement ses spasmes pour ne pas s'effondrée. Se fut avec soulagement, une demi-heure plus tard qu'elle arriva dans le hall de l'hopital, après avoir montée des insurmontables marches de pierre. Ce fut une infirmière qui la trouva, elle était dans l'impossibilité d'élevée la voix. Enfaite c'était la femme à l'accueil qui avait prévenue les étages supérieurs. Bientôt, elle fut allongée sur un brancard et directement envoyée en salle d'opération. L'accouchement fut difficile. Si difficile qu'il fallaut faire une césarienne à la jeune Williams qui s'en fichait du moment que son enfant vive. Après deux heures de concentrations, les medecins réussirent à faire sortir le jeune bébé. Un bébé qui ne se retenait pas pour hurler. Une magnifique petite fille. Qui n'était autre que moi.

Quelques minutes plus tard, après m'avoir embrassée sur le front, elle ferma les yeux et s'endormie. Pour toujours. À côté d'elle, je hurlais de toute mon âme.

▬ Suite à cela, je ne suis pas restée bien longtemps à l'hopital. Bien sûr je fus adoptée, une si jolie petite fille, qui n'en voudrait pas ? Malheureusement ce ne fut pas la meilleure famille d'accueil que l'on aurait pu esperée ! J'avais déjà deux demi-frères et deux parents adoptifs qui ne me montrérent que peu d'affection. D'accord, ils s'occupérent de moi jusqu'à ce que je fus capable de le faire toute seule, mais aussi loin que je puisse m'en rappeler, je ne me souviens pas avoir eut la moindre marque d'affection de leurs part. Je devins une petite fille débrouillarde qui était capable de faire ce que les adultes jugeait inconsevable. Enfant effacée, je passais la plupart du temps dans ma chambre, un coin aménagée dans le garage. Spacieux, mais vide. Je me souviens avoir eu peur quand j'étais petite, de toute ses ombres qui passait à chaque fois. Il n'y avait personne pour me rassurer, me dire que les démons et autres créatures sortie de mon imagination n'existait pas. Je me débrouillais comme je le pouvais. Je me consacrais donc la plupart du temps à mes devoirs, puisque j'allais à l'école moldue de ce temps et je me suis toujours révélée très douée. Mais au final, les Hurtley auraient mieux fait de ne pas décidés l'adoption, eux qui aimait le rationelle, que tout soit logique. Ils sont tombés sur ce qu'il appelait "un mystére humain"

Je me trouvais tranquillement installée sur mon lit, à lire un livre couvert d'image et de lignes que je devais appréciée si l'on en écoutait les dire de Mrs Cole. Je ne comprenais pas pourquoi elle me portait un si profond interêt et personnellement, je m'en passerais bien, mais bon. S'il n'y avait que cela pour faire plaisir autant se prêter au jeu. Je soupirais tout de même. Lire j'aimais ça mais à petite dose, or ont s'obstinait à m'en donnée des tonnes. Enfin bref. Bientôt j'entendis Will et Zachary rentrer de l'école primaire et comme d'habitude, comme s'ils s'en sentaient obligés, ils vinrent faire un tour par ici, sourire narquois aux lèvres. Je savais déjà ce qu'il me voulait. Je préférais les ignorés.

WILL-Alors Skye, tu t'amuses ? Tu veux qu'ont t'aide ?

Il avait dit ça sur un ton moqueur. C'est vrai qu'il aurait pu être sympa. Enfaite, il l'était, avec tout le monde sauf avec moi. Je ne comprenais pas pourquoi mais comprendre quelque chose venant de lui était inutile. Il n'était pas logique. Zachary lui était simplement naïf, il imitait tous les faits et gestes de son frères, comme s'il c'était s'agis d'un dieu.

ZAC-Tu dois te sentir seule dans s'vieux garage pourris...

WILL-Nan mais cherche pas Zac, elle à toujours été seule la petite orpheline, tu sais c'est comme ça qu'ils t'appelles dans ton école, surtout Mrs Cole, ont l'a entendue l'autre jours parlés aux parents...

Mes doigts se crispérent malgré moi sur mon livre que je fixais sans en lire une ligne, j'écoutais les paroles de mon demi-frère. De toute manière je ne pouvais pas faire mieux que les entendres puisqu'il se trouvait à peu prés un mètre de moi. Je me forçais à respirée paisiblement pour montrée que je n'étais point touchée par leurs insinuations et me concentrais sur autre chose, bien que je bouillonais. Will s'assit sur le bout de mon lit, l'air de rien, comme si je l'y avais invité, me prennant mon livre des mains.

WILL-T'a rien de mieux à faire que lire c'te torchon ? Tu fais pitié ma petite, mais bon t'a raison reste dans ton trou à rat le monde t'endura moins...

Il y eu un craquement sonore énorme et l'étagère qui se trouvait au-dessus de sa tête vacilla un instant, avant d'atterir sur sa tête avec tous ce qui se trouvait dessus. Les joints qui la retenait avait explosés et bientôt, Jane et Robert entrérent précipitement dans la pièce. Will était au sol, inconscient, et Zac me regardait terrifié, comme s'il avait vu un monstre. Moi je gardais les yeux exorbitré sur l'étagére.

ROBERT-Que c'est-il passer ?

Personne ne répondit, mais ce fut clair. Bientôt, Jane appela une ambulance et il fut conduit à l'hopital pendant que les enfants restaient à la maison. Plus jamais Zac, ni Will n'osérent m'embêter. Je venais de faire ma premiére démonstration de magie.

▬ Ont me laissa certes tranquille à partir de se moment là, du moins les enfants de ma famille d'accueil, mais ma magie elle, ne resta pas rangée jusqu'a prochaine utilisation. Elle commença même à faire des siennes. Puissante, j'avais fais plusieurs explosion mystérieuse dans le garage lorsque la nuit tombée je faisais des cauchemars. Bientôt, mon père fut témoins de plusieurs phénoméne inexpliqués et il me conduisit à l'hopital. J'avais tellement peur de ses hommes en blouse blanche que je faisais voler des objets dans tous les sens. Curieux, une organisation me prit en charge et je finis sous les scalpels sur une table de chirurgie. Je fus pendant un mois un cobaye à l'âge de neuf ans. Un mois où les moldus essayérent de trouvé ce qui "clochait" chez moi. La peur et la douleurs causait des remontées d'adrénaline pour ma magie qui rendait les ustensiles inutiles. Je fus donc endormie pour la plupart du temps. Évidemment, le ministére de la magie en prit rapidement connaissance et je fus placée à Saint Mangouste pour pouvoir récupérer ma forme et surtout atténués le traumatisme. Dit comme cela ça fais cliché mais cela c'est réellement passé. Bien que j'aurais préférée que se ne soit pas le cas. Je fus ensuite envoyée dans un orphelinat. Mon âge étant avancée, personne n'aurait voulut d'une fillette de neuf ans. Mais au moins, la-bas ont avait beau m'ignorée, ont me laissait réellement tranquille.

J'avais reçue ma lettre trois semaines plus tôt. Bien sûr j'étais déjà au courant depuis mes huit ans mais j'avais peu à peu cessée d'y croire, comme s'y jamais rêvée. Mais non. Un membre du ministére de la magie était venue à l'orphelinat et ont m'avait expliquer le tout en détails si bien que j'avais parfaitement compris ce que je devais faire. Autonome depuis toujours, je suis allée seule sur le chemin de traverse, avec la petite bourse que l'on m'avait confiée et je fis mes achats seule. Tout d'abords chez Mr Ollivanders qui eut du mal à me trouvée une baguette qui me conviendrait. Ou plutôt, une baguette à laquelle je conviendrais comme il l'avait plusieurs fois souligné. Après une bonne demi-heure d'essais divers, lorsqu'il m'avait confiée une baguette en bois de rose avec un ventricule de dragon à l'interieur, un vent chaud m'avais envahis et je me sentais tout d'un coup merveilleusement bien. Je me rappelle qu'il avait été étonné. C'était un mélange assez...peu commun, puisque la rose invoquait la douceur et le dragon la puissance. Il m'avais simplement commenter que je devais être dotée d'un fort caractére. Puis il y avait eu les essayages divers, les chaudrons, les grimoires ... et tous ce qu'il va avec. Je me rappelle avoir été émerveillée devant les balais de course, mais étant première année cela m'était interdit d'avoir le miens. Enfin bref. À présent, je me trouvais dans le hall, parmis les autres élèves à qui je n'avais que peu adressée la parole et bientôt une femme au chignon serrer bien nous accueillir, dans sa robe fluide, verte émeraude et son chapeau pointu. Je la suivais dans une immense salle au plafond magique d'après les dires de ma voisine et j'attendis, debout. Je cru que l'on allait jamais m'appeler. Je devais me trouvée tout en bas de la liste puisque mon nom commençais par "W" mais je ne pouvais m'empêchée d'être nerveuse, mais confiante. Il suffisait simplement de portée un chapeau miteux, rien de bien difficile.

MCGONAGALL-Skye Williams ?!

Je déglutie avant d'imitée bon nombre de mes camarades. J'étais l'avant dernière et personnellement je plaignais ma suivante. Je m'assis sur le tabouret à trois pieds sans montrée la moindre anxiété bien que je trépignais à l'interieur et attendit, ma vue caché par le chapeau.Une voix malicieuse s'insinua ensuite dans mon esprit et je serrais les dents.

CHOIXPEAU-Hmm...difficile, difficile...tu as un très fort caractére, une brillante intelligence et je suppose de l'ambition...bon dieu où vais-je t'envoyer ? Hm...tu es bien silencieuse...je vais donc choisir pour toi...SERPENTARD !

Le dernier mot avait retendit dans la Grande Salle et je me levais du tabouret pour rejoindre mes camarades un sourire aux lèvres.

▬ J'eu donc une scolarité exemplaire. Bien sûr j'ai eu aussi quelques retenues comme tous le monde, mais mes résultats en cours dépassait largement la moyenne et frôlait l'excellence. Non enfaite c'était pile poil comme il le fallait. Je n'avais jamais de difficulté à retenir une leçon, une propriété, un sortilège, une date. Ça s'inscrivait facilement dans mon esprit. Je passais mes BUSES haut la main, en obtenant douze. J'étais surement l'une des élèves les plus brillante de ma promotions bien qu'un vide régnait toujours énormément en moi. Beaucoup de question surtout. Vers l'âge de seize ans j'ai commencée à vouloir réellement m'interessée à ma famille et à mes parents surtout. Le problème c'est qu'a Poudlard il n'y avait aucune trace de John Williams, ni de Vivian. Je désespérais de plus en plus et aujourd'hui encore je n'est pas de réponse. Seulement un médaillon avec le prénom de mes parents inscrit dessus, rien de plus. Je n'est pas continuée de creusé lors de ma scolarité j'étais bien trop occupée par mes ASPICS à venir. Je me faisais beaucoup d'ami aussi, je plaisais énormément à la gente masculine, malheureusement c'était rarement réciproque, juste des histoires comme cela, rien de plus. Je ne croyais pas au coup de foudre et je n'y crois toujours pas. Mais il y avait tout de même peu de personne que je respectais réellement. Un brin insolente, j'en est toujours fait qu'a ma tête. Lorsque je suis sortie de Poudlard je me suis orientée vers le ministére pour une carriére d'auror. Les tests d'entrée furent complexes mais je fus reçue et je fis ma formation qui dura trois ans. Trois ans ou je ne me concentrais sur rien d'autre. Trois ans qui payérent puisque bientôt je fus administrer au rang d'auror. Actuellement je me fais passée pour une mangemort avec mon coéquipier, Joakim Wolf. Je donne des informations au ministére tant dis que je suis la taupe des mangemorts. C'est une affaire dangereuse, mais c'est comme ça. Je n'ai jamais eu froid aux yeux.

Inutile de nier l'évidence, je suis belle. Dire le contraire serait stupide, je ne suis pas ce genre de fille qui sont modeste au point de se rabaissée elle même. Désolée, le monde appartiendra peut-être un jour aux humbles, en attendant, il appartient aux vaniteux. C'est une philosophie qui mérite d'être retenue selon moi, pas mal d'adolescente complexée si tiendrais et arrêtais leur char ! Enfin bref, ont parlait de mon physique. Je suis grande, un mètre soixante et onze ce qui me convient parfaitement. Qui dit grande, dit élancée, du moins dans mon cas. En effet ma silhouette est fine et musclé sans excès par les exercices quotidien qui entretienne ma forme. Tiens en parlant de formes, j'en est pas mal, là ou il faut. Je pourrais être ce que qualifie les gros machos d'aujourd'hui, une bombe. Que voulez vous, je ne suis pas le moins du monde complexée et c'est peut-être ce qui rajoute de mon charme. Je posséde de long cheveux bruns, lisse et soyeux à souhait avec pleins de reflets. J'ai aussi de magnifique yeux bleue pétillant et joueur qui attire la sociabilité de mon interlocuteur. Mes lèvres sont fines et rosée, quoi que un peu pulpeuse, comme il le faut. Mon visage est assez fin enfaite. Un vrai petit ange vous direz. Peut-être bien, en apparence. Mon sourire découvre une dentition parfaitement entretenue et alignés d'une blancheur satisfaisante faisant fondre la glace de n'importe quel coeur. Quant à mon teint, il est de pêche. Ni trop pâle, ni trop bronzé. Non enfaite c'est le juste milieu. Si la perfection avait un nom elle s'appellerait Skye. D'ailleurs, je ne porte pas de grande cape de sorciére je déteste ça. Du coup lorsque j'arrive au bureau des aurors c'est souvent avec un jean serrer, un jean slim quoi, avec un débardeur ou un petit chemisier. J'aime être séduisante. De toute manière en haillons ou pas je suis sublime, c'est une évidence. J'ai aussi un petit percing sur à mon nombril. Mon ventre est musclé et plat.

Signe Particulier : Une tâche de naissance, un croissant de lune au creux des reins et une cicatrice peu visible sur le bas du ventre.