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| [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] | |
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Invité Invité
| Sujet: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Ven 24 Juil - 13:07 | |
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Informations de bases
● Nom : Rodenburg. Un nom d'une certaine rudesse, d'une certaine âpreté, que Pavel chérit. Quand on le prononce, c'est comme l'écho d'une force perdue, d'un retentissement soudain ... et c'est important. ● Prénom : Pavel ● Date de naissance : Un certain 21 septembre 2000.
Votre personnage
● Caractère : Hanté par la conviction que l’on assiste à la fin d’un monde, d’une époque, Pavel se tourne désespérément vers un passé qu’il n’a pas connu. Fuyant son quotidien dans l’Histoire et les histoires, il se prend souvent à rêver d’un hypothétique et fantasmatique « bon vieux temps », où la Terre était plus jeune et où les guerres n’avaient pas ravagé les territoires. Issu d’une culture qui a connu depuis presque toujours le morcellement et la division, il tente de trouver réponse à ses blessures identitaires. S’adonnant souvent à la rêverie, il s’attèle volontiers aux travaux de l’esprit et s’intéresse tout particulièrement à l’Art qui, selon lui, peut seul amener à une meilleure compréhension de soi-même. Perdu dans un monde qu’il ne reconnaît pas comme le sien, Pavel compense par son imagination et sa créativité, se créant des univers, par les mots et les couleurs. On pourra cependant trouver quelque chose d’assez obsessionnel chez lui dans son intérêt pour les belles choses : le jeune homme enchaîne sans suite les collections, papillonne d’un domaine à l’autre sans facilement se fixer. N’y a-t-il pas là volonté de combler une forme de manque ? Distant et timide, il exècre toute forme de familiarité, et n’apprécie pas que l’on s’approche trop de lui. Cela tient en partie de sa conception des relations humaines et de la culture, qui apparaît comme bien dépassée, en ce 21ème siècle. Il peut s’en défendre : Pavel suit le modèle aristocratique de l’oisif ne s’instruisant que pour lui-même. Il bâtit des relations assez lentement, semblant toujours chercher à marquer une distance avec l’autre, ce qu’il fait notamment à travers la langue. Vouvoiement, mots rares et tournures archaïques représentant pour lui une barrière plus ou moins opaque. Malgré cela, il rêve souvent de trouver des interlocuteurs capables de l’approcher et de le comprendre. Travailleur dans ce qui l’intéresse, détracteur des inutiles abstractions de la science, il n’est pas impossible qu’il trouve un terrain d’entente avec certains. Au final, autour de ces propositions éparses, il apparaît que ce jeune homme cherche à se construire une identité. Devant la difficulté à apprivoiser ses pouvoirs et les répercussions que ceux-ci ont sur son corps, issu d’une nation brisée et héritier du traumatisme de la guerre, face à un monde où toutes les anciennes valeurs se sont retrouvées remises en cause, Pavel tente de mieux se comprendre lui-même, et de mieux vivre. Ce qui ne se fait pas sans quelques angoisses et crises existentielles. Au demeurant, il se montre parfois étonnamment lucide par rapport à ses conduites de fuite ou ses questionnements identitaires, et se montre capable d’auto-dérision. Le rire de distanciation, le sourire mélancolique.
● Maison : Au choix, je n'y accorde pas d'importance particulière, c'est pourquoi je délègue cette tâche à ceux qui me valideront. ● Signe particulier : Le personnage de Pavel se caractérise par une mémoire impressionnante. Cela n’a, à première vue, rien à voir avec un pouvoir ou une anomalie quelconque. Sauf que Pavel est écrasé par une Mémoire qui n’est pas la sienne. Son esprit, qui a parfois si peu de prise avec le présent, se retrouve envahi d’impressions diverses, de faits passés, de réalités vieilles de plusieurs siècles qu’il n’est pas toujours à même de comprendre. En lui dort une Histoire dans son entier, des traumatismes, des images lointaines, aussi lointaines qu’incompréhensibles. Sur lui pèse le poids de plusieurs siècles de connaissance et de déchirements. Il en sait trop, et ça lui pèse. Enviant l’ignorance des autres, ce qui leur permet de vivre leur vie à eux sans trop se poser de questions, les méprisant toutefois pour leur inculture et leurs manières, il hésite, mangé par cet héritage. Ce ne sont pas forcément des souvenirs individuels qui lui apparaissent, mais des bribes de mémoire collective, parfois détachées de tout contexte, qui surgissent. Ont-elles une réalité quelconque ? D'où viennent-elles ? Représentent-elles réellement ce qui s'est passé ou ces réminiscences passent-elles par le prisme de la conscience ? Qu'est-ce qui justifie leur apparition ? Autant de questions qui restent encore en suspens ... Le jeune homme subodore que ces réminiscences apparaissent par association d’idées, par correspondance, mais il n’en sait pas plus, n’étant pas à même de contrôler efficacement ce pouvoir. Cela confère à Pavel une culture hors pair. Cela affecte cependant sa relation avec les autres et, plus encore, cela l'empêche d'avoir une vraie prise sur la réalité. Hanté par autant de souvenirs et d'éléments de savoir, épuisé sous le joug de cette mémoire toute extérieure, il n'est parfois plus à même de penser, de réfléchir aux choses présentes. D'où ce regard absent, cet air d'être ailleurs que l'on lit souvent sur son visage ... De trop nombreuses ou trop fréquentes réminiscences lui causent également une très forte fatigue : le passé est lourd à porter. ● Patronus : Une Hirondelle ● Avatar : Alex Pettyfer
Informations sur vous
● Prénom : Ethan ● Âge : 14 ans ● Passions : Musique, lecture, rôle play ... ● Ce que tu aimes : Voir ci-dessus. ● Ce que tu détestes : Bien des choses qu'il serait prétentieux de prétendre pouvoir toutes les citer ici. ● Comment as-tu connu le forum ?Via un Top Site.
Dernière édition par Pavel Rodenburg le Sam 25 Juil - 14:25, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 14:20 | |
| ● Votre histoire :
« Chapitre I – Vienne au crépuscule »
2001 – Environs un siècle plus tôt éclatait le premier grand conflit du XXème siècle.
C’était l’été. Des fruits gâtés gisaient sur le sol, béants, comme éclatés. Offrant leur chair corrompue à la pourriture. Le soleil se couchait, baigné de pourpre, et un vent frais venait de se lever, annonciateur d’orage dans la moiteur de l’atmosphère. Terminées, les heures d’abondance, et dans l’été qui s’endormait pointaient les premières lueurs d’automne. C’est à cette période que Pavel est né. A Vienne, antique cité des arts, berceau d’un pays en morceaux. L’Autriche, voisine de l’Allemagne, avait beaucoup souffert des années de guerre. Les murs couverts de cendre, les tours chancelantes, d’anciens bâtiments gisant, vestiges d’une culture oubliée. Ses parents faisaient partie des autrichiens germanophones - il paraîtrait même que son père, Johannes Rodenburg aurait été un activiste connu du parti pangermaniste. Sachant l’image que l’Allemagne, alliée de la Chine lors des conflits, gardait à l’époque, cela n’a pas rendu la vie facile.
2007 – Massacre sanglant d’attaquants Tibétains en Chine.
La mère de Pavel perdit un enfant en couches. Quelques mois plus tard, les parents de Pavel se séparèrent d’un commun accord ; l’enfant resta avec sa mère, et son père se retira en Suisse. Ses visites se firent de plus en plus sporadiques jusqu’à ce qu’un jour, sans un mot, il disparaisse. C’est à cette époque que le petit garçon âgé de 6 ans, commença à manifester certains signes de mélancolie, que l’on attribua à la perte d’une petite sœur attendue et à la disparition de son père. Vienne se reconstruisait doucement sous les pluies et les brumes. De nouvelles tours de verre, froides et glacées, s’érigeaient à la place des anciens temples. Des peintures autrefois célèbres avaient été subtilisées dans les décombres des musées détruits. D’abord vendues au marché noir, elles finirent par se perdre et par être oubliées. Des espoirs renaissaient, l’humanité commençait à porter un nouveau regard sur elle-même, et l’Histoire suivait son cours.
« Chapitre II – Le monde est vieux, j’y consens … »
2011 – Il y a environs un siècle mourrait de tuberculose et de malnutrition Franz Kafka.
Un jour, elle décida de l’entretenir du destin d’un peintre d’origine autrichienne : sa mère aimait lui conter ce genre d'histoire. Jeune homme admirateur d’un célèbre aîné, il monta à la capitale pour le rencontrer, lui vouant toute son admiration. Il dessina même en son honneur, et peignit son portrait ! Un grand nom de la peinture autrichienne ! Et les femmes qu’il représentait étaient si belles ! On dit qu’il commença à fréquenter la bonne société. Les images ont été perdues, mais elle, elle le savait, elle s’en souvenait, elle l’avait appris quelque part. Arrêtant de peindre, il avait vécu jusqu’à un âge respectable, menant une vie heureuse avec femmes et enfants, au seuil de la ville. Fenêtres ouvertes vers la campagne. … Elle mentait. Cette effroyable pensée tomba comme un couperet. Pavel savait que sa mère mentait. L’éloquence qu’elle déployait le troublait d’autant plus : il ne sentait pas la moindre hésitation dans cette voix si connue, pas le moindre mouvement pouvant trahir une gêne quelconque. Non, mais il était sûr et certain qu’elle mentait ... Un flot d’informations, d’images, d’impressions le submergea. Sans savoir ce que cela signifiait, l’enfant se répétait en lui-même, mécaniquement : Non, Schiele n’avait pas peint de belles femmes. Non, ce n’était pas la beauté de l’ancien monde qu’il représentait. Non, il n’était pas mort heureux et vieux. Il le savait, il était mort à 23 ans, trois jours après sa femme qui était enceinte. Le foyer en construction succombant sous le coup de la grippe espagnole. L’enfant vacilla sur sa chaise, le regard trouble. Sa mère, sans se rendre compte de son changement d’attitude, continuait ses belles histoires, restituant le récit idéalisé d’une histoire réinventée par les siècles, bercée du doux sentiment qu’elle détenait la réalité. L’enfant espérait à chaque instant qu’elle se taise, qu’elle laisse le silence s’installer entre eux, qu’elle s’éloigne, visiblement heureuse d’elle-même, persuadé de perpétrer la belle culture autrichienne en initiant ainsi son fils.
En lui se bousculaient, sans suite, d’autres voix, d’autres impressions, d’autres … Souvenirs. Pavel sentait, savait, retrouvait une réalité depuis longtemps enfouie, apparue pour lui seul. Barricades des rues de Paris, destructions, répression. Bien plus lointain, somnambulisme d’un riche duc du Béarn. Révoltes dans les rues, guillotines. Bûchers où une femme échevelée hurle à la mort. Cénacles littéraires d’un autre temps. Les images se succédaient, sans suite. Kaléidoscope de souvenirs …
« Non ! »
Pavel ouvrit les yeux, hébété, comme réveillé par son propre cri. La pièce était vide, sa mère avait disparu dans la pièce voisine. On lui demanda à qui il parlait.
« Non … Rien … » murmura-t-il dans un souffle.
Une fois sa mère repartie, l’enfant se recroquevilla sur lui-même, dévoré d’angoisse.
« Chapitre III – Le monde n’est qu’une balançoire pérenne … »
C’était quelque chose d’étrange que ce port. Baignés de la fraîche lumière du matin, dormaient deux imposants bateaux. Impressions confuses. Un brouillard qui se fait, progressivement. Les couleurs s’éclaircissent, les contours s’estompent. Il ne se souvenait déjà plus.
Alors que les portes de l’engin se refermaient lentement, Pavel jeta un dernier regard vers le ciel du matin. Songeant à ce pays qu’il quittait, ne serait-ce que pour quelques années, à son propre passé qu’il laissait derrière lui, alors qu’il était condamné à charrier éternellement celui des autres. Légers grincements. Plus qu’un mince filet de lumière. Les portes se fermaient. Et là surgit un souvenir, nourri de sons, d’odeurs, d’images précises. Un de ses souvenirs qui lui appartenait véritablement. Il avait seize ans … Il sentait presque la dureté des sièges sous lui, le rire des spectateurs, les odeurs d’huile rance. La rugosité du bois sous ses doigts, les musiques de fanfare. Un homme vêtu de rouge annonçant d’une voix de stentor l’incroyable, l’exceptionnelle …
Son nom de scène était ridicule, il fallait bien l’admettre. Etait-elle d’ailleurs si belle que ça ? Un charme étrange émanait de miss Saturnia, acrobate et saltimbanque. Les muscles saillants sous le maillot de corps, le sourire souligné de rouge, les formes disparaissant sous les volutes de tulle … Pavel avait longuement songé à elle, particulièrement troublé. Que trouvait-t-il d’aussi attirant chez cette femme grossière, de presque dix ans son aînée ? Il tentait de se remémorer son visage. Des yeux soulignés de khôl, la sueur coulant sur la poudre de riz, le faux sourire esquissé au coin des deux lèvres à l’aide d’un crayon rougeâtre. Elle n’avait pas manqué lors de son dernier numéro … - Etait-ce à lui ? - de jeter un regard engageant, dans sa direction …
Pavel fronça les sourcils et tenta de reléguer ce souvenir dans un coin de sa trop imposante mémoire. L’appareil tanguait légèrement au gré des mouvements de l’eau. Comme bercé par ce lent mouvement, le jeune homme la voyait, cette jeune femme, passer d’un trapèze à l’autre ; il la voyait sourire distraitement à ses déclarations enflammées, il la voyait se donner à lui, s’abandonnant entre ses bras malhabiles. Le jeune homme soupira en repensant à cet épisode. Eperdu, solitaire, il avait cherché des réponses auprès de cette artiste au physique si singulier. Une complémentarité à retrouver, un échange à construire. ["Chose étrange ! dans le rapprochement de ce beau couple, c'était la femme qui avait les muscles, et l'homme qui avait les nerfs !"] . Au final, il n’avait rencontré qu’un être au rire gras et aux manières tapageuses. En cette femme, il aurait souhaité trouver un double inversé, un reflet de ce qu’il n’était pas, de ce qu’il ne pouvait pas être. S’oublier un instant entre des bras plus forts que les siens, sans avoir à jouer la comédie des convenances, la comédie des sexes. A la place de l’entité protectrice qu’il recherchait, Pavel avait eu en face de lui une femme qui cédait complaisamment aux avances, avide de protecteurs, impatiente de jeter au placard les collants et les jupes de tulle … Lui, c'était cette force, cette énergie vitale qu'il aimait, qu'il avait aimée, quand il la voyait se lancer dans le vide, les yeux grands ouverts, les bras tendus vers l’abîme. Quand, insouciante, le sourire aux lèvres, elle se laissait aller au vertige du monde.
Quelques légères secousses ébranlèrent le bateau qui finit par s’immobiliser. Pavel sentit sa gorge se serrer. Oui, il laissait quelque chose derrière lui. Outre sa mère qu’il évitait depuis longtemps, il y laissait des espoirs déçus.
« Histoire sans fin ... Tableau aux couleurs infinies … Un jour, vous saurez, vous aussi, ce qu'il en est de la fin de cette histoire ... ou pas » [Fiche Terminée] |
| | | Lysander Scamander .: Just Ravenclaw :.
Nombre de Messages : 460 Age : 31 Date d'inscription : 17/07/2009
Carte du Maraudeur Objets de quêtes: Gallions: (38010/40000)
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 15:21 | |
| Hum bienvenue
[je voulais pas géner pour l'histoire,donc si un admin peur l'enlever ce serait pas mal,mon message hein] | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 15:37 | |
| Fiche très intéressante et style d'écriture très plaisant, j'espère que tu resteras un bon moment parmi nous :p (et que tu m'accorderas un petit RP? XD) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 15:43 | |
| Merci à vous =') Et, en ce qui concerne le RP, il n'y a aucun soucis ^^ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 16:26 | |
| Je te prends au mot, mwahaha \o/
(c'est un peu comme si tu avais fait un serment inviolable, tu aurais dû y réfléchir à deux fois XD) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 16:41 | |
| Arf ! Vais-je m'en mordre les doigts ? =P |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 16:44 | |
| Seul l'avenir nous le dira XD Espérons pour toi que non. XD
En tout cas sympa la petite musique pour accompagner la lecture (une bonne idée à piquer X) ) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 16:48 | |
| Oui, mes textes sont souvent inspirés d'une musique. Je m'approprie le thème, recherche son but, ses sentiments profonds et m'en sert pour rédiger. C'est de là que me vient l'inspiration ^^ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 17:16 | |
| Idem :p Bien souvent, une panne d'inspiration se résout avec une musique Mais je n'avais jamais pensé à par exemple mettre une musique que les lecteurs pourraient écouter afin de se mettre dans le bain. J'arrête de flooder XD Il me tarde de savoir où ils vont te répartir :p |
| | | Neville Londubat .: Professeur :.
Nombre de Messages : 164 Date d'inscription : 19/07/2009
Carte du Maraudeur Objets de quêtes: Gallions: (1200/10000)
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Sam 25 Juil - 17:45 | |
| Bienvenuuue ! Fiche Validée . Je te mets tout de suite à Serdaigle Tu peux aller te faire créditer 200 gallions et une chocogrenouille de bienvenue Et aussi réserver ton avatar et patronus ^^ ^^! Bon jeu | |
| | | Pioupioupiou .: | Adorateur de Patapons | :.
Nombre de Messages : 3244 Age : 33 Date d'inscription : 06/06/2009
Carte du Maraudeur Objets de quêtes: Gallions: (58702/100000)
| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] Dim 26 Juil - 20:01 | |
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| Sujet: Re: [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] | |
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| | | | [Fiche Validées #129]Pavel Rodenburg [U.C] | |
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