[Fiches Validées #159]Taylor E. McDouglas

Nom : McDouglas

Prénom : Taylor Elisabeth

Date de naissance : Le 19 septembre 2002



Votre histoire (10 lignes complètes) :

L’histoire que je vais vous compter n’est pas celle d’une jolie princesse, prisonnière d’une tour d’ivoire attendant que son prince la délivre. Non, c’est celle d’une jeune fille qui a grandit dans l’Ouest. C’est mon histoire…

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La soirée avait été longue et douloureuse pour Johanna, qui s’était évertuée pendant de longues heures à mettre au monde sa fille. A présent, elle dormait d’un sommeil lourd et réparateur, qu’elle méritait amplement. Ses longs cheveux châtains clairs collaient légèrement à son front, signe de l’intense travail qu’elle avait fourni.

Un peu plus loin, installé dans le rocking-chair, un homme tenait dans ses bras le nourrisson. Ses cheveux, aussi claire que ceux de sa femme, étaient noués en catogan. Ses prunelles onyx fixées sur le petit être qu’il tenait avec tendresse, il souriait. Tout son être respirait le bonheur. Jamais il n’aurait pensé être aussi heureux. Il avait tout ce dont il rêvait. Une femme merveilleuse, une adorable petite fille, un ranch avec plusieurs centaines d’hectares, du bétail, des chevaux… Que pouvait-il demander de plus ?

Alors qu’il était perdu dans ses pensées, son regard s’était instinctivement tournée vers la fenêtre. Dehors la nature était paisible. Les arbres se dressaient fièrement au loin, le blé se balançait au gré de la brise d’été, le bétail broutait tranquillement. Un des veaux qui gambadaient joyeusement s’arrêta pour téter le pis de sa mère.

C’était étrange de voir comme le temps avait si peu d’impacte sur la nature. Tout cela semblait presque irréel, comme si on avait tiré ces images de vieux film. Ici peu importait l’heure, tout était régler au rythme des saisons. Nathan avait l’impression de vivre hors du monde réel.

Alors qu’il observait, la longue plaine émeraude, Nathan sentit sa fille bouger et sa petite main se refermer sur son index.



Depuis le jour de sa naissance, Taylor vivait dans le Montana à environ une heure de Nashua, petit village de 325 habitants, dans le comté de Valley. Il n’y avait ni centre-commerciale, ni building… Juste de grandes étendues d’herbes, des forêts, des rivières et des montagnes. C’était le paradis.

- Taylor !!! Viens Manger !

La petite fille de six ans releva la tête vers sa mère qui l’appelait pour le repas. Un grand sourire aux lèvres, la petite brune pataugea encore un peu dans l’eau, trempant le bas de sa robe avant d’en sortir pour courir jusqu’à l’entrée suivie par Sam, un bouvier bernois de trois mois.
En se dirigeant vers la table, elle surprit le regard de son père. Il lui faisait les gros yeux. Aussitôt, elle éclata de rire avant de lui tiré la langue et d’aller vite se laver les mains.
Revenue de la salle de bain, elle prit enfin place à la grande table. Sa mère la servit et le repas commença.

Tendant la main pour attraper son verre alors que ses parents discutaient, elle ne remarqua pas le verre se soulever seul. Mais si elle n’y avait pas prêté attention, son père, lui, l’avait vu. Ce n’était pas la première fois que des choses étranges se passaient. Sur son passage, il arrivait que certaines fleurs fanées reprennent vie. Et Sam semblait lui obéir sans qu’elle n’ait prononcé un mot. Il faudrait vraiment qu’il en parle avec sa femme.



La vie est parfois cruelle mais qu’en sait-on quand on a que huit ans ? Rien ! On pense que tout est beau. Jamais on ne pense que du jour au lendemain, notre paradis peut soudainement devenir notre enfer. Petite fille, Taylor voyait la vie de ses yeux pleins d’insouciance. Elle ne pensait qu’à s’amuser, à aider son père au ranch et a se promener avec Gipsy, une jument à la robe noire, et Sam.

Mais la vie avait été cruelle. Debout aux cotés de son père, la petit fille fixait la boite qui se trouvait devant elle. Ses yeux, d’habitude si plein de vie, étaient rougit par le flot de larmes qui en avaient coulé. Sa petit main était perdue dans celle de son père.
Autour d’elle les gens la regardaient avec compassion… Après tout ne venait-elle pas de perdre sa mère ? La pauvre avait succombée après plusieurs années de lutte contre le cancer, laissant son mari et leur fille seul.

Taylor n’avait que six ans lorsqu’on avait découvert la maladie de sa mère. Aussitôt, on lui avait expliqué. La fillette avait eu beaucoup de mal à comprendre. Elle pensait que si sa maman se reposait, elle guérirait. Dés lors, elle s’était montrée très courageuse. Elle avait aidé bien plus encore au ranch. Elle n’avait plus jamais râler parce que madame Walker lui donnait beaucoup de leçon. Et sa maman avait fini par aller mieux pendant quelques semaines… Puis on l’avait hospitalisée pour une rechute et replacé sous chimiothérapie. La encore, Taylor avait eu difficile pour comprendre. Elle était allée voir sa maman très souvent, lui apportant de beaux dessins et d’énormes bouquets de fleurs sauvages. Elle lui avait raconté ses journées au ranch et à l’école. Et puis sa mère était décédée. Taylor avait beaucoup pleuré quand son père lui avait dit que sa maman avait rejoint les anges.

Pour l’occasion, elle avait revêtis une robe noire et coiffer ses cheveux toute seule. Tenant toujours la main de son père, elle avait cessé de pleurer et regardait à présent le cercueil descendre.



De jour en jour Taylor voyait son père dépérir. Il passait de moins en moins de temps chez eux et travaillait presque tout le temps. Il ne jouait plus avec elle, ne l’emmenait pas en ballade.

Dans sa chambre, Taylor préparait sa valise. Il y avait maintenant presque un an que sa mère était décédée et son père avait décidé de quitter le Montana… De retourner dans son pays d’origine : l’Angleterre. Selon lui, tout lui rappelait trop Johanna.
Taylor n’en voulait pas le moins du monde à son père. Pour elle aussi c’était difficile. Sa mère lui manquait terriblement. Il lui arrivait parfois de l’attendre comme si elle espérait la voir entré d’une minute à l’autre. Mais jamais elle n’arrivait.

Même si elle était triste, elle était contente de voyager. Oh bien sûr le Montana allait beaucoup lui manquer, ainsi que ses amis et sa jument mais elle allait revoir sa grand-mère Elisabeth… Puis elle avait eu l’autorisation d’emmener Sam avec elle. Et pour rien au monde elle n’aurait abandonné son compagnon canin.

Remplissant sa valise avec tous ses vêtements, elle y glissa de nombreuses photos et des souvenirs de sa mère et de ses amis.



L’Angleterre était un endroit horrible !!! Ici, il n’y avait aucune prairie, tout était fait de béton et de goudron. Il y avait des odeurs bizarres et le ciel était tout gris. Sam non plus n’aimait pas l’angleterre. Depuis qu’ils étaient arrivés, le pauvre chien était attaché. Pas le moyen de courir pour se dégourdir les pattes.

Assise sur le lit de sa nouvelle chambre, Sam couché sur le couvre-lit, Taylor regardait les photos qu’elle avait apportés. Sa maison lui manquait. Ici, elle était un peu perdue… Elle se rappelait les matins ensoleillés, les ballades avec Gipsy, les tasses de chocolats chauds en hivers, son père lui chantant une berceuse le soir… Ici, tout était différent… Il lui faudrait du temps pour s’habituer.

La fillette de neuf ans se glissa dans son lit, éteignant la lumière avant de se coller contre Sam… Son seul ami. C’est ainsi qu’elle finit par s’endormir.



Taylor venait d’entrée dans une boutique… La première boutique d’une longue liste. Il faut bien dire que les fourniture pour entrer à Poudlard étaient plutôt nombreuses.

Elle avait reçu la liste quelques jours plutôt, de même que sa lettre d’admission à Poudlard, l’école de sorcellerie. Elle avait été plus que surprise tout comme son père, mais sa grand-mère avait juste sourit comme s’il s’agissait d’une chose normale. Etait-elle sorcière ? Avait-elle connaissance du monde magique ? Avait-elle des amis sorciers ? Autant de question aux quelles la petite blonde n’avait aucune réponse.

Ce matin là, c’était un véritable géant qui s’était présenter chez eux pour emmener Taylor faire ses achats. Il s’était présenter comme étant le gardien de Poudlard. Si sa largue carrure n’avait rien de très engageant, Hagrid (car c’est ainsi qu’il s’appelait) était un être d’une grande douceur et d’une gentillesse sans fin. Si bien qu’après une longue discussion sur le monde magique et sur Poudlard, il n’eu aucun mal à se faire confier Taylor pour l’après midi.

Encore pleine de curiosité, la jeune fille l’avait suivit parmi les rues de Londres. Posant tout un tas de question au demi-géant, elle ne remarqua même pas les regards mi-surprit mi-apeuré des passants qu’ils croisaient. Bien au contraire, elle continua de déverser sur lui un torrent de question. Questions aux quelles il fut content de répondre, étanchant pleinement sa curiosité. Il lui parla de Dumbledore, des matières enseignées au château et même de créature dont elle n’avait jamais imaginé l’existence. Ce n’est qu’en arrivant au Chaudron Baveur que leur discussion se calma. Observant tout et rien, ils avaient traversé le bar, juste salué par Tom.

Quelques instants plus tard, le chemin de traverse s’offrait aux prunelles curieuses et avides de la petite brune. Il y avait tant d’animation, de couleurs, de sons et d’odeurs que Taylor, émerveillée, ne savait ou donner de la tête. Mais à peine avait-elle le temps de se remettre de ses émotions qu’il fallait commencer les achats.

Après un rapide passage chez Gringotts, Taylor était entrée chez Ollivanders, le vendeur de baguette. Le vieux bonhomme sorti d’un rayon au moment même où le carillon de la porte se faisait entendre. C’est avec un sourire au lèvre qu’il s’approcha de l’étrange duo.

- Miss McDouglas si je ne m’abuse…

Surprise qu’il connaisse son nom, elle le regarda s’éloigner. Il lui apporta une baguette, puis encore une et encore une autre… Mais rien ne se produisit. Décontenancé, mais pas pour autant désespéré, il revint avec une nouvelle baguette. Taylor la prit en main et perçut aussitôt une étrange chaleur.

- C’est du bois de rose… Trente-huit centimètre et demi avec une plume d’hippogriffe. C’est une excellente baguette pour les enchantements.

Encore une fois Taylor remua la baguette s’attendant à un nouvel échec. Cependant, des dizaines de papillons, aux couleurs plus chatoyantes les unes que les autres, sortirent de l’extrémité de la baguette… plongeant la jeune fille dans le ravissement.

- Magnifique !!!



Taylor cherchait un compartiment vide, tirant sa valise et la guitare que sa mère lui avait offert pour ses sept ans. Elle venait tout juste d’abandonner son père et Sam sur le quai. Pour la cinquième années consécutive, elle retournait à Poudlard. Elle aurait bien emmener Sam avec elle mais les chiens étaient interdits au château alors elle se contentait juste d’un hiboux.

Après plusieurs minutes de recherche, elle fini par trouvé un endroit où s’asseoir. Le compartiment était vide, ce qui tombait plutôt bien. Taylor ne se mêlait que rarement aux autres élèves… C’était une chose qu’elle essayait de changer mais chasser le naturel, il revient au galop.
La jolie blonde glissa rapidement sa valise dans le filet prévus pour ça et posa son étuis à guitare sur le siège à coté d’elle.

Installée, elle regarda le paysage défiler par la fenêtre. Le Poudlard Express venait juste de quitté King Cross et pourtant de longues étendues émeraudes s’offrait déjà au regard de la jeune fille, lui rappelant ses origines. Aussitôt le goût amère des regrets lui revint. Sa ville natale lui manquait toujours autant. Londres était assez divertissant mais c’était une chose totalement incomparable.

Pour se changer les idées, elle passa rapidement l’uniforme de l’école aux couleurs de sa maison.

Caractère (5 lignes complètes) :

Le principal trait de caractère de Taylor est, sans aucun doute, le fait qu’elle s’adapte à la personne avec qui elle se trouve. Elle peut aussi bien se montrer douce, même sensible, avec certains et se montrer froide et arrogante avec d’autres. Cela ne fait pas d’elle quelqu’un de lunatique pour autant. Elle a seulement c’est préférence. Mais au départ, tout le monde part sur le même pied d’égalité. De ce fait, elle peut très bien avoir des amis qui, entre eux, sont les pires ennemis.
Née moldu, elle n’attache pas une grande importance aux sangs et aux rangs sociaux. Ce ne sont pas nos gênes qui déterminent qui nous sommes mais uniquement nos actes. Même le SDF moldu peut se montrer plus brave et digne que n’importe lequel des sangs-purs.

Si Taylor se montre chaleureuse, douce et attentionné avec tout le monde, elle n’accorde pas pour autant sa confiance. La confiance est pour elle une chose qui se mérite. Franche, elle dit toujours ce qu’elle pense même si ça peut blesser. L’honnête est une des bases de la confiance. Compréhensive, ouverte d’esprit, elle se montre maternelle avec ses camarades. Elle est en réalité très câline. C’est une personne a qui l’on peut se confier sans problème. Bien qu’elle se montre plutôt extravertie, Taylor est une véritable introvertie. Comme on dit si bien ; il ne faut pas juger un livre à sa couverture.
En parlant de livre, c’est une véritable passionnée de lecture, dévorant d’énormes ouvrages les un à la suite des autres.

Mais si Taylor se montre de si bon caractère, c’est aussi une fille plutôt impulsive. Toute chose, aussi lumineuse soit-elle, a sa part d’obscurité. Elle se montre parfois cynique, irascible, arrogante, froide voir même solitaire… en sommes très peu sociable. Il lui arrive également de perdre son calme et d’en venir rapidement aux mains. Même lorsqu’elle se trouve face à un gorille… enfin surtout dans ces cas la. Mais rassurez-vous, sont coté sombre ne se montre pas bien souvent.

Maison: Poufsouffle ou Serdaigle.

Signe particulier : Taylor emporte toujours avec elle la guitare que sa mère lui a offert étant petite.

Patronus : Panda

Avatar : Carrie Underwood



Prénom : Elodie

Âge : 21 ans

Passions : La musique, le chant, la lecture et l’écriture.

Ce que tu aimes : Beaucoup de chose. Si je devais toute les cité ca me prendrai un temps fou ^^

Ce que tu détestes : Plein de chose également.

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