Informations de bases
Nom : Monaghan
Prénoms : Philip, Andrew, Arthurus
Surnom : Phil
Date de naissance : 16 septembre 2002
Votre personnage
Votre histoire :*Phil a une moue dubitative* Mon histoire ? Oh, non, vraiment, je vous assure que ce n’est pas la peine que je vous la raconte. Non, non, n’insistez pas, ça ne vous intéressera pas.
*Voyant que le public commence à partir, il se ravise précipitamment* Bon, d’accord, puisque vous y tenez…
*Il prend une inspiration et se lance* Je suis venu au monde il y a presque 17 ans maintenant. J’aurais bien aimé, à l’âge d’un an, qu’un célèbre mage noir mal intentionné Qu’On-Ne-Citera-Pas vienne me dessiner une jolie cicatrice sur le front, comme ça, j’aurais peut-être été plus important qu’un pan de mur dans ma vie, mais comme me l’a fait remarquer ma mère (une femme pleine de bon sens que ma mère), si ç’avait été le cas, elle et son mari auraient été carbonisés copieusement par la même occasion, ce qui aurait été quelque peu déplorable, j’en conviens.
De ce fait, j’ai donc grandi sans aucune autre cicatrice que mon nombril sur le corps. Je ne suis ni maigrichon, ni myope, ni passablement maltraité par un cousin particulièrement gros, bêta et préféré à ma personne. Quoi ? Que j’arrête de me définir par ce que je ne suis pas et que je poursuive le récit de mon histoire ? Oui, pardon, j’ai tendance à me perdre, je suis un incorrigible bavard. Enfin, bavard, c’est vite dit, car pour être bavard, il faut généralement avoir quelqu’un à qui parler, comme vous en ce moment, et… Oui, oui, je continue, ne partez pas !
*Il toussote* J’ai donc grandi, entouré de l’amour de mes parents, dans une belle maison de sorciers, sans tragédie remarquable pour être citée (ma licorne en peluche Lapinou a été explosée par un Scroutt à pétard géant lors d’une foire de sorciers alors que j’avais cinq ans, ça compte ? Non ? Ah…) Vers l’âge de sept ans, comme la plupart des enfants, j’ai manifesté mes premiers pouvoirs magiques (le dentier de mon affreuse grand-tante Agathe a été expulsé de son palais et s’est mis à la poursuivre partout dans la maison en claquant avec férocité), ce qui a fait plaisir à mes parents (mais pas à la fesse gauche de Tante Agathe).
A onze ans, j’ai débuté mes études à Poudlard. J’ai rapidement compris trois choses dans cette école : les sortilèges allaient m’intéresser au plus haut point, la botanique me restera obscure à jamais (qui peut aimer arroser des fleurs qui essaient de vous aspirer le sang par les doigts ?), et le mur derrière moi continuera d’être presque plus important que moi.
Je ne dis pas ça pour jouer les malheureux, hein, entendons-nous bien (ne pleurez pas, mademoiselle… Ah, vous vous mouchez simplement parce que vos êtes enrhumée, je vois…), mais on ne peut pas affirmer que je fusse, et que je sois, un exemple de sociabilité. Il faut dire qu’à onze ans, lorsque vous essayez de vous faire votre propre cicatrice sur le front, mais que la seule chose que vous parveniez à faire, c’est de vous brûler un sourcil et mettre le feu au sac à dos du meneur de la classe, vous n’aidez pas les relations à se créer. Et, à quatorze ans, quand vous croyez que votre connaissance en sortilèges est suffisante pour tenter à nouveau de creuser un sillon en forme d’éclair sur votre tête (mais que vous vous trompez lourdement), et que vous mettez le feu à la robe du plus populaire joueur de Quidditch en lice (qui se trouve être de surcroît l’ancien meneur de classe dont vous aviez déjà brûlé le sac à dos), vous signez votre suicide social de manière assez définitive. Ajoutez à cela un humour médiocre, une capacité à parler pour ne rien dire hors du commun, un don affolant pour faire fuir les filles (comment pouvais-je savoir qu’à la question « Me trouvez-tu belle ? », la seule et unique réponse est « Oui, évidemment » et pas « Ca peut aller, c’est juste dommage que tu mettes autant de fond de teint pour cacher tes boutons » ?), et une exécrable attitude de premier de la classe (alors que vous n’êtes pas premier de la classe, en plus…), vous obtenez un rebus – ou un déchet, comme le disait le joueur de Quidditch – de la société de Poudlard.
Fort heureusement, les personnes vivantes ne sont pas les seuls amis potentiels dans la vie, il y a aussi… les livres. Pour échapper à mon fan-club collant et surtout désespérément imaginaire (car inexistant, vous l’aurez compris), j’ai passé beaucoup de temps à la bibliothèque (ce n’est pas non plus très conseillé quand on se sent seul et qu’on a la réputation sociale d’une flaque de pus de Bulbobulb) où j’ai étudié la plupart du temps toute sorte de sortilèges, car je ne trouve rien de plus jouissif que d’agiter sa baguette en prononçant une formule alambiquée (bien qu’à mon âge, à présent, je maîtrise les sortilèges informulés). En revanche, et contrairement aux amis, ainsi que me le faisait remarquer mon père (un homme sage, mon père), un livre s’épuise, et ne vous répond pas toujours quand vous lui parlez (bien qu’à la bibliothèque, j’ai trouvé certains livres qui se sont révélés particulièrement loquaces).
Vous êtes toujours là ? *Il s’étonne* Et bien, voilà, je crois que j’ai terminé. J’attaque désormais ma septième et j’espère dernière année à Poudlard. Qui sait si je peux espérer récupérer un semblant de vie sociale ?
Caractère :Mon histoire a probablement déjà dû vous donner un aperçu éloquent de ma personnalité, mais comme je ne refuse jamais de parler à quelqu’un quand j’en ai l’occasion (c’est-à-dire pas souvent), je vais m’étendre un peu.
Vous l’avez compris, mon point fort n’est pas le social. Ayant appris à faire fi des moqueries et autres regards méprisants, je me suis habitué à être seul et à ne plus trop m’en soucier. Contrairement à certaines personnes qui ont le don d’être attirantes, je passe généralement inaperçu, en partie parce que je ne fais pas grand-chose pour me faire remarquer (j’ai compris que ça valait mieux, la plupart du temps), et j’éprouve une certaine animosité (ou une animosité certaine, ça marche bien aussi) envers les personnes trop populaires. Cela ne veut pas dire que je repousse volontairement les gens et que je refuse de tisser des liens avec eux ; mon souhait le plus cher est sans doute aucun de me faire des amis. Mais j’ai relégué ce souhait au rang de rêve inaccessible et c’est avec sagesse (ou stupidité ?) que j’ai renoncé à tout faire pour le réaliser.
En parlant de sagesse, je crois que je peux dire que je suis plutôt quelqu’un de sage. Braver les interdits ou faire preuve de trop d’ambition n’est pas dans mes attributs. Ma scolarité a toujours été plutôt bonne (hormis en botanique) et je suis appliqué dans mon travail comme dans mon attitude en classe, en tant qu’élève, sans pour autant être un acharné du boulot (sauf en sortilèges, que je vois plus comme une passion qu’une matière scolaire). Je crois aussi que c’est la sagesse qui m’a appris à éviter les ennuis ; à moins que ce ne soit l’habitude, ou la lâcheté, vu que je ne suis pas très courageux…
Ancien incorrigible bavard (je dis « ancien » car n’ayant personne à qui parler en temps normal, je ne sais plus si la machine à paroles que je suis fonctionne toujours bien), je suis doté d’une certaine ironie et je me montre fréquemment sarcastique, surtout envers moi-même. L’humour, comme vous le diront les sorciers un peu psychologues (ou ivres), me permet probablement de mettre de la distance avec ma réalité pour pouvoir mieux la supporter. Oh la la, si c’est pas triste, ça !
Enfin, je manque franchement d’assurance. J’ai tendance à me dénigrer et à me sous-estimer, alors que je ne suis sûrement pas aussi mauvais que je le pense (ça vaudrait mieux). J’ai notamment l’intime conviction que je n’arriverai jamais, malgré le fait que j’excelle dans les sortilèges, à me faire une belle cicatrice sur le front, et j’ai renoncé depuis longtemps à retenter l’expérience… (encore une fois : sagesse, ou lâcheté ?)
Pour résumer, je dirais que je suis donc comme le personnage secondaire dans les séries télévisées moldues, un peu marginal, celui que tout le monde embête, et que le héros de la série, plein de bonté, vient sauver du désastre social annoncé. Sauf que dans mon cas, ce meilleur ami n’est pas encore venu.
Maison souhaitée : Serdaigle
Signe particulier : Aucun (sauf un sourcil qui, ayant été brûlé une fois, est très légèrement moins touffu que son jumeau, mais il faut le regarder à la loupe pour le remarquer)
Patronus : Un maki catta
Avatar : Alex Meraz
Baguette : 29.7 cm, bois d’érable, crin de sphinx
Matière où Phil excelle : Sortilèges et enchantements
Matière où Phil a du mal : Botanique
Informations sur vous
Prénom : Steph
Âge : 22 et des poussières
Passions : Aucune, seulement des loisirs
Ce que tu aimes : L’écriture, le piano, les jeux vidéo ; l’humour, le tact, la générosité
Ce que tu détestes : La cigarette, l’alcool, les fautes d’orthographe XD ; l’arrogance, l’impolitesse abusive, la malhonnêteté
(ces listes sont bien évidemment non exhaustives ^^)
Comment as-tu connu le forum ? Top site (en tapant sur Google : forum rp harry potter)
Il semblerait que tout le monde soit plus ou moins en vacances au mois d'août, j'espère ne pas tomber dans une période trop creuse...